Jamais il n'y a eu tant de roses, partout, qui débordent des murs et des jardins, sur n'importe quel mur, sur les talus. Au détour de n'importe quel petit virage, elles sont là, splendides. Pouvoir assister à leur mois, le mois de mai, sur une route de campagne, un jour de semaine, quand chacun travaille dans des villes pluvieuses et poisseuses, quel bonheur.
1 commentaire:
Oh ouiii...
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