29 juil. 2008

Ma plage


Zut, c'est encore flou, elle ne veut jamais se laisser prendre, jamais, et ça plus de quarante ans que toutes ses photos sont floues. Pourquoi ?

Abondance



Je crois que le proverbe "Frolich wie Gott im Franckreich" (Heureux comme Dieu en France) a quelque chose de vrai. En été, c'est sûr.

La belle Le Nôtre


Elle est partout, cette année, la belle Le Nôtre, cette rose qui fait des brassées exquises, des roses de cinéma, "grave belles", qui font tomber les passants en arrêt. Belle carrière.

28 juil. 2008

La récolte des lavandes






Comme tous les ans, vers le 20 juillet, un rite merveilleux.




Mon 14 juillet







Qu'il est joli, le 14 juillet, à la campagne ! La mairie, les devises laïques, le banquet républicain sur la place de l'école, les fanions, les lampions, une fête pimpante, avec quelque chose qui me rappelle les malettes de jeux rétro d'autrefois que l'on garde précieusement, et que l'on ouvre une fois par an. Ma malette du 14 juillet était parfaite. Petite nouveauté cette année : j'étais fière de l'Europe.

15 juil. 2008

Going home


Qu'est-ce qui fait que l'on reconnaît son "chez moi" et que l'on a envie de courir pour se jeter dans ses bras ? Pour moi, ce sont ces montagnes bleues, là bas, au fond.

8 juil. 2008

Le château


Pour les week-ends, ce serait parfait. [Réponse question ci-dessous : c'est une haie en topiaire vieille de quelques siècles, qui recouvre ce qui reste du donjon d'origine du vieux chateau-fort..].

7 juil. 2008

Qu'est-ce que c'est ?


J'attends des réponses...La réponse sera révélée demain. Non, ce n'est pas une soucoupe volante abandonnée.

3 juil. 2008

L'iPhone a-t-il chauffé à blanc ?


C'est la première fois que je vois un homme avec l'exacte empreinte d'un iPhone, gravée à vif dans sa poche arrière. L'homme était dans une conférence high tech, où tout le monde avait un iPhone. J'ai cru un instant que c'était une nouveauté d'un chic absolu : porter un jean usé par un usage fou de l'iPhone. Hélas, informations prises, ce n'était que l'empreinte d'un banal portefeuille. Dommage.

2 juil. 2008

Bonheur à Budapest


J'ai passé quelques jours à Budapest. C'est déjà fini. Budapest est une belle ville, mais parce qu'il y a eu toutes ces rencontres merveilleuses, ce fut plus qu'un plaisir, un grand bonheur. Je m'en souviendrais comme du Danube ce soir-là : de l'or en fusion.

Blue Hotel

Un hôtel bleu comme une bonbonnière de porcelaine Wedgwood, sur une place toute simple. Budapest me plaît.

La boîte à lettres

Rescapée du 19e siècle, sans doute, voici une boîte à lettre à Budapest.

Les bains





Peut-être que l'on peut avoir les mêmes soins et les mêmes bains chauds à Vichy ou Aix les Bains, mais c'est tellement plus beau à Budapest, dans les historiques Bains Gellért. Les bains des femmes sont des merveilles de mosaïques turquoises. Budapest propose des dizaines et des dizaines de bains thermaux publics. Le soir, aux stations d'autobus, on voit les travailleurs et leur petit sac de sport se diriger vers un établissement ou un autre. Après le bain thermal et le massage, on reste sur les pelouses à ciel ouvert jusqu'à la fermeture.

Budapest au hasard


Qu'est-ce que c'est ? La présidence de la République ? L'opéra ? La plus grande banque du pays ? Mais non, juste un hôtel, certes de luxe. Budapest a gardé des fastes impériaux, à portée de tous, dans chaque rue.

Etkezökocsi


Le hongrois est une langue compliquée. Ceci veut dire, tout simplement, wagon-restaurant

L'antiquarium




L'un des grands électeurs de Bavière, vers le 16e siècle, a construit une galerie dans son palais de Munich pour exposer sa collection de statues antiques, dont celles de tous les empereurs romains. On l'appelle "L'antiquarium". J'était seule avec tous les empereurs et un peuple de statues. C'était magique.

A la tombée du jour

Un violon jouait dans le kiosque, des amoureux étaient étendus sur l'herbe, des promeneurs buvaient de grandes chopes de bières sous les maronniers, et certains jouaient même à la pétanque. C'était idyllique. Ce n'est que plus tard que j'ai découvert que les galeries du parc avait abrité la première exposition sur "Comment reconnaître un juif", que Hitler vivait à deux pas et qu'il a du aimer se promener le soir. Munich ne veut pas se souvenir. Rien, à part dans le quartier "nazi", où a eu lieu l'autodafé des livres "dégénérés", ne rappelle une seule seconde quelle a été son histoire entre les années 30 et 45. Dachau est a quelques kilomètres. On peut visiter, comme une banale étape touristique.

A la bonne franquette


Le service de table du prince de Bavière. Du vermeil, en toute simplicité.

La petite dame dans la main de la grande dame


P6230104, originally uploaded by Briconcella.

Au début d'un pont de Munich, cette belle et grande statue tient dans sa main une petite victoire ailée. Ce doit être la chargée des missions spéciales de la belle et grande dame.

Palais bavarois


Le grand électeur de Bavière (autrement dit, le Prince) vivait dans un palais de cent vingt pièces à Munich. Rien n'était trop précieux, ni trop rare. Des cabinets de "chinoiseries", des chandeliers en ivoire, et de l'or, de l'or, tellement d'or partout que Versailles semble par comparaison un peu négligé et en difficultés économiques. Cependant, j'ai eu un peu mal au coeur.



Et au milieu coule une rivière

Munich est traversé par une rivière (oublié le nom) qui est l'exacte république de ma rivière, celle qui coule près de mon village. Une vraie rivière sauvage, avec des joncs, des petites sous-rivières fantaisistes, des galets, de grands arbres qui sentent bon, mais aussi de vrais baigneurs, en pleine ville !