28 févr. 2010
14 févr. 2010
Valentine
Mon "Valentine", comme on le fait à la manière anglo-saxonne : pour tous ceux que l'on aime dans la vraie vie ou dans la vie virtuelle, et pas seulement un ou une élue, voici un cœur, photographiée par une nouvelle copine virtuelle, photographe au Brésil, qui se fait appeler Juniverse. J'aime vraiment bien cette photo.
9 févr. 2010
Métro et proverbes
En un seul voyage en métro, deux proverbes sur des publicités. Un d'Algérie, et un du Mali. C'était le jour des proverbes
7 févr. 2010
Le baobab du Mali
On vient de m'offrir ce baobab d'Afrique. Sérieusement. Pour que je m'y accroche par mauvais temps...
3 févr. 2010
Niger
J'ai fait numériser une partie des diapositives de mon père. Il faut s'attendre à voir beaucoup d'Afrique ces jours-ci sur ce blog. C'était un très bon photographe. Il a eu accès très tôt aux films couleurs Kodack, importés des États-Unis. Et c'était un très grand connaisseur de l'Afrique, après toutes ces années. Voici une "tata", une maison de terre battue, une architecture de tradition Peulhe, sans doute au Niger. J'aime beaucoup cette photo. Merci, pour l'instant, de ne pas la reproduire ou l'utiliser.
La maison, Gabon
La maison était au fin fond "de la jungle profonde", comme dans les films. Une de nos très grosses bêtises - laisser négligemment des bouts de canne à sucre à moitié mangées derrière un des "murs", par paresse, au lieu de les jeter dans le feu qui brulait tout le temps, pour les moustiques - a conduit au pire. La nuit suivante, une armée de fourmis rouges a débarqué et tout ravagé. Nous avons été réveillées par des cris, une grande agitation, en pleine nuit. Mon père a fait la seule chose à faire. Arroser d'essence, mettre le feu à la maison, et sauter dans la jeep pour nous mettre à l'abri un peu plus loin. Mais je crois bien qu'on a reconstruit une autre maison, à l'identique. Je sais, ça parait inventé, mais c'est vrai.
2 févr. 2010
me & my giraffe, Niger
Je me souviens très bien d'elle. Quand l'Afrique était le royaume des aventuriers, quelqu'un, dans ces quelques maisons modernes en béton brut sur le pourtour de Niamey, avait une girafe dans son terrain vague, on ne sait pas pourquoi. Les voisins se plaignaient beaucoup d'elle. Elle ravageait les plate-bandes, les plantations, tout. Mais quel bonheur d'avoir une girafe derrière la maison.
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